Notes sur l’individu et la conscience chez Max Horkheimer et Theodor W. Adorno

Auteurs

  • Pedro Octávio Gonzaga Rodrigues Universidade de São Paulo; Instituto de Psicologia; Departamento de Psicologia da Aprendizagem, do Desenvolvimento e da Personalidade
  • Kety Valéria Simões Franciscatti Universidade Federal de São João Del-Rei; Departamento de Psicologia

DOI :

https://doi.org/10.1590/0103-656420160027

Mots-clés :

théorie critique, matérialisme, sociologie, psychologie sociale, formation de l’individu

Résumé

Cet article présente une discussion sur les fondements matérialistes des concepts d’individu et de conscience pour les penseurs Max Horkheimer et Theodor W. Adorno. On présente une analyse de l’objet de la psychologie, l’individu, à partir du parcours de son mouvement matériel dans ses différentes expressions dans l’histoire et, ainsi, on construit quelques considérations sur la conscience à partir de la Théorie Critique de la Société. Dans ce but, on veut mettre en évidence les relations entre l’objet de la sociologie et de la psychologie, en souvenant que la société a, dans ses déterminations, comme potentialité, le mouvement des particuliers vers l’établissement d’un tout juste, en garantissant l’universalité, moyen selon lequel l’individu peut se différencier et se constituer pacifiquement. À partir des analyses entreprises, en parcourant des vestiges matériels qui engendrent la formation de l’individu dans l’histoire, on comprend la conscience comme une auto-conscience sociale, c’est-à-dire, déterminée socialement et expression d’une formation pour l’autonomie.

##plugins.themes.default.displayStats.downloads##

##plugins.themes.default.displayStats.noStats##

Publiée

2017-08-01

Numéro

Rubrique

Artigos Originais

Comment citer

Notes sur l’individu et la conscience chez Max Horkheimer et Theodor W. Adorno. (2017). Psicologia USP, 28(2), 256-265. https://doi.org/10.1590/0103-656420160027